Il reste des terres sauvages, des
chemins clandestins sous les sombres nuages qui sillonnent nos destins, des
contrées cachées sous le dôme du mystère, suspendues dans l’immensité, là où
notre regard erre. Le parfum de la liberté se soulève sous le soupir du vent, il
traverse nos espoirs, il soutire à nos yeux de sel, quelques gouttes
dérisoires, douces comme le miel, comme une pluie d’allégresse qui viendrait du
temps. Il y a tant à espérer quand les heures ferment les déchirures, les joies
manquées font silence après leurs longs murmures, la mémoire se drape d’oubli,
dans le bain des étoiles, nos pas
cherchent la vie sur les reliefs d’une autre toile.
dimanche 14 avril 2024
IL RESTE !
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