La croissance
du nombre de fous furieux aux États-Unis croise la chute de la
popularité de Donald Trump. 60 % des Américains désormais opposés à
sa politique sont frappés du Trump Derangement Syndrome. Soit,
pour ses partisans, une hostilité irrationnelle envers lui comparable
à une maladie mentale. Et c’est dangereux.
Le réalisateur Rob Reiner, a commenté Trump
après l’assassinat lundi 15 décembre de ce dernier et
de sa femme, a été victime de son anti-trumpisme et de la colère qu’il a
suscitée pour cette raison : « Il était connu pour rendre les
gens fous par son obsession enragée contre le président
Trump », a déclaré le président, parlant de lui à la troisième
personne.
En
d’autres termes, le réalisateur et sa femme dont le fils est
l’assassin présumé et le bras de la justice n’ont eu que ce
qu’ils méritaient et qui pourrait bien arriver aux millions de
malades mentaux qui, comme eux, ne l’aiment pas. Les États-Unis vont
devoir choisir. Enfermer plus de la moitié de la population ou empêcher
de nuire le forcené de la Maison-Blanche.

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