Bon, d’accord
c’est dans Valeurs actuelles. Quelques jours avant la plaidoirie des avocats
de Nicolas Sarkozy, la
chroniqueuse Catherine Nay sentait déjà un « parfum de
guillotine » : « Dans l’affaire du financement libyen,
Nicolas Sarkozy est accusé sans preuves. Le réquisitoire du parquet a des
allures de vengeance de la corporation » et les juges, qui s’arrogent
le monopole de la vertu, de la pureté et de la croisade morale « font
peur, très peur ».
Quelques pages
plus loin, l’académicien Jean-Marie Rouart, en soutien de Marine Le Pen, voyait la « République des juges »
comme un « obstacle à la démocratie ». Cela quand notre
pays est devenu une « succursale de l’union soviétique » où « le
communisme est une résurgence du christianisme que la gauche réinterprète de
façon cruelle, diabolique, en détournant complètement le message chrétien pour
n’en conserver que le seul caractère inquisitorial ». Il y a des
délires qui font rire, un peu peur, aussi.
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