mardi 9 juillet 2024

« Hanouna, casse-toi ! », le billet de Maurice Ulrich.



Pourquoi s’en priver. « Hanouna, casse-toi ! ». On ne va quand même pas bouder le plaisir d’avoir entendu ça dimanche soir, place de la République. On aurait pu l’entendre ailleurs. Les réseaux sociaux n‘en peuvent plus, les propositions affluent, un vol sur Ryanair, un asile politique en Corée du Nord. Les agences immobilières étrangères sont sur le coup.

Avec ces 40 000 euros par mois pour Touche pas à mon poste – merci monsieur Bolloré –, c’est un client sérieux. Un riad à Marrakech, une datcha en Sibérie ? Dubaï, c’est déjà trop cher. Il faudrait qu’il retrouve une place, des invités bien à droite, des gens pour rire à ses vannes comme ils savent le faire.

Il l’avait promis, pourtant, il y a une quinzaine de jours, sur C8 : « Moi je te le dis : FI au pouvoir, je pars, c’est sûr. » En attendant de faire ses valises, il tergiverse. « C’était une boutade », et même, « Je vous aime fort et je suis là ». Dégonflé ! Dommage pour ses pays d’accueil, ils ne sauront même pas à quoi ils ont échappé.

 

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