Le poète laisse aller sa plume d’oie
sans loi, il écrit ses pensées avec sa bonne foi. Il parle de la guerre, s’amuse
du tonnerre, écorches politiques de son phrasé critique. Il vient nous
rapporter paroles de guignols semblant gorgée d’alcool, qui veulent l’Élysée. Il
entend et il voit, écrit de bonne foi ce qu’il a ressenti avec sa modestie. Il
voit un dictateur en train de tuer ses frères, il clame sa terreur de toute sa
colère. Le poète aime vivre, le poète aime suivre, le poète délire, il fait
aussi survivre. Personne n’a le droit de venir l’accuser avec un air narquois,
d’écrire la vérité. Il n’est pas chef de secte, il est toujours correct, mais
il a ses pensées que l’on doit respecter. Laissons-le décrier, politiques,
religions, relations, mutations que l’on voudrait chasser. C’est peut-être
jalousie que tu réveilles alors. Écris ta poésie, écris-là sans remords. Ici
bien plus qu’ailleurs sa plume laisse chanter. Oui, poète prend bonheur à dire
tes pensées.
lundi 12 février 2024
ÉCRIRE !
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