Il reste des terres sauvages, des chemins clandestins sous les sombres nuages
qui sillonnent nos destins. Des contrées cachées sous le dôme du mystère, suspendues
dans l’immensité, là où notre regard erre. Le parfum de la liberté se soulève
sous le soupir du vent. Il traverse nos espoirs, il soutire à nos yeux de sel quelques
gouttes dérisoires, douces comme le miel comme une pluie d’allégresse qui
viendrait du temps. Il y a tant à espérer quand les heures ferment les
déchirures. Les joies manquées font silence après leurs longs murmures. La
mémoire se drape d’oubli, dans le bain des étoiles. Nos pas cherchent la vie
sur les reliefs d’une autre toile.
jeudi 11 janvier 2024
DESTINS !
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