Ça ne manque
pas de sel, dit-il, et il se régale. Le chroniqueur canadien Mathieu Bock-Côté,
familier de CNews, de Valeurs actuelles, revient dans
le Figaro sur le cas de l’étudiante Nour Attalah, à qui sont
attribués un éloge des massacres du 7 octobre, des propos antisémites et
des références à Hitler.
Exclue de
Sciences-Po Lille, elle fait l’objet d’une enquête pour apologie du terrorisme
et de crime contre l’humanité. Mais Mathieu Bock-Côté en veut plus. « Dans
un monde normal, écrit-il, un tri minimal aurait été opéré parmi les
“réfugiés” et elle n’aurait jamais mis les pieds en France, dans un monde
normal toujours, elle quitterait demain le territoire national, dans un monde
normal, enfin, ce seraient les pays arabes qui accueilleraient les “réfugiés”
gazaouis. »
Mais ce qui ne
manque pas de sel, c’est « se scandaliser de l’arrivée de Nour Attalah
en France, après avoir autorisé l’implantation de millions de personnes
partageant globalement ses préjugés ». Dans un monde normal, avec ou
sans sel, Mathieu Bock-Côté serait-il autorisé à importer sa haine de millions
de personnes ?
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