vendredi 7 juin 2024

« Il est là », le billet de Maurice Ulrich.



Emmanuel chez les Bretons, Emmanuel rencontre des parachutistes, Emmanuel va à Saint-Lô, Emmanuel est à Omaha Beach. On dirait qu’il a le don d’ubiquité. Comme dans la blague. Un jour Jésus dit à ses apôtres : « Allez voir là-bas si j’y suis. » Ils y allèrent et il y était.

Emmanuel rencontre son grand copain, Joe, qui est président des États-Unis. On pense qu’il va lui passer la main dans le dos dès qu’il le pourra. Il aime le contact. On se souvient de sa poignée de main avec son autre grand copain, Donald, qui était président des États-Unis et va peut-être le redevenir. Son accolade, aussi, avec son ami Benyamin, Ben, le premier ministre d’Israël, avant qu’il bombarde.

Quand Emmanuel n’y est pas, c’est Brigitte qui est là. Oui, la première dame, comme on dit, qui est en une de Paris Match et aussi sur une double page. Elle accueille des vétérans à l’aéroport de Deauville. On sent dans son regard l’empathie, le respect de la nation. On aurait pu manquer ça. Heureusement que Paris Match y était

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

ÇA PLEURE UN HOMME !

Un homme ne pleure pas, un homme réfléchit, il fait taire son cœur, il est impénétrable.   Voilà ce que disait le vieillard vénérable au c...