LSD, cocaïne, ecstasy, champignons hallucinogènes, c’est, selon le Wall
Street Journal, qui n’est pas particulièrement connu pour son goût de
la farce, ce qui se consomme dans l’ordinaire des soirées organisées par Elon
Musk. Avec, en plus, pour le propriétaire de Tesla et Space X, et l’homme le
plus riche du monde, de la kétamine à haute dose afin de soigner des syndromes
dépressifs.
Bonjour les cocktails dont s’inquiètent, nous dit-on, les cadres les plus
haut placés de ses entreprises. Les coincés et les rabat-joie craignent en
effet que les petites habitudes de leur patron visionnaire – et comment – ne
finissent par mettre en péril les contrats passés avec la Nasa concernant des
missions spatiales, alors même que le groupe a signé un accord prévoyant le
bannissement de toute drogue pour les salariés et dans les locaux.
On peut les comprendre mais ce n’est pas si grave. À l’évidence, Elon Musk
n’a pas besoin de fusées pour s’imaginer immortel, batifoler sur Mars et
rencontrer des extraterrestres avec qui faire la fête. Allez, cocktails
spéciaux pour tous !
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