Cette fois-ci adieu à la
révolution que nous promettait l’ancien ministre de l’économie en 2017. Le
candidat-président a inauguré un nouveau slogan : « le changement, ça
prend du temps » et de nous répéter une bonne trentaine de fois « Je
veux changer de méthode », mais pas de politique. C’est davantage « A
droite toute ». Retraite à 65 ans, suppression d’impôts pour les
entreprises, pour les allocataires du RSA, ce sera 15 à 20 heures de travail
par semaine. Pour les enseignants, augmentation de leurs rémunérations, mais à
condition d’accepter de nouvelles missions. Avec Macron c’est du sang et des
larmes. Avec Fabien Roussel, ce sont « les jours heureux », pour
retrouver le chemin de la majorité sociale du pays, et permettre à une gauche
populaire reconstruite sur de nouvelles bases de relever les défis auxquels la
planète entière est confrontée n! Souvent on entend cette antienne, Fabien
Roussel fait de bonnes propositions, mais comment les financer ? À la
différence de tous les autres candidats, il est le seul à proposer de
s’attaquer à la dictature de la finance, en prenant le pouvoir sur
l’utilisation de l’argent. Utopie, certes non ! C’est le
journal « Le Monde qui dans un éditorial évoque la nécessité de mettre à
contribution les pétroliers. À l’heure, indique-t-il, où la situation réclame des sacrifices aux
moins aisés et à de nombreuses entreprises qui voient leurs coûts de production
exploser, il est urgent d’allouer une partie de la rente pétrolière à
l’accélération de la transition énergétique »
·
Le Smic à 1500 euros net.
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La retraite à 60 ans à taux plein.
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Pas de pension inférieure à 1200 euros.
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100.000 emplois créés dans tous les
métiers à l’hôpital.
·
Loi sur la sécurité de l’emploi ou de
formation.
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Dans l’enseignement 90.000 recrutements
planifiés.
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Augmentation de 30% des salaires des
personnels enseignants
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Réduction de la TVA sur les produits de
première nécessité.
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Rétablissement et augmentation de l’impôt
sur la fortune.
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Création d’un nouvel impôt sur les
sociétés.
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Aides publiques aux entreprises
démocratiquement contrôlées.
·
Un pacte pour le climat et l’emploi doté
de 140 milliards d’euros.
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