Le peintre à mélangé les couleurs du soleil
Les poires aux couleurs vermeilles
Sur le vase il a peint le reflet inchangé
D’une dentelle, d’une soie oubliée
Un bouquet de fleurs posé juste à côté
Où ses larmes doucement avaient glissé.
Je garderai de vous, compagnons de misère, au blanc de mes jardins la noirceur de vos pas, des rides de douleur sur une eau qui fut claire...
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