Il est en
photo, à la une du Figaro Magazine. Dans la perspective, on aperçoit la
basilique du Sacré-Cœur, dont on se souvient à propos qu’elle fut édifiée pour
expier la Commune de Paris. L’hebdomadaire nous propose une « enquête
sur un milliardaire catholique, libéral et conservateur, Pierre-Édouard Stérin,
l’entrepreneur qui combat la gauche ». Et c’est Eugénie Bastié, sa rédactrice en chef adjointe, une « remueuse
d’idées », nous dit-on qui dresse son portrait.
« Est-ce vraiment lui, dit-elle, le diable dont la gauche a si peur (…). Sourire Colgate,
lunettes rectangulaires sans monture, (…) Pierre-Édouard Stérin a l’allure d’un
bon père de famille catholique de province (…) d’une voix douce et posée, il
déroule ses convictions sans hésitation avec une sincérité presque
naïve. »
On peut lui
donner le bon Dieu sans confession mais c’est, nous rappelle la remueuse
d’idées, par l’Humanité qu’a commencé sa diabolisation avec la
révélation de son projet baptisé
« Périclès ». Rien d’autre
qu’un dispositif à entrées et relais multiples destiné à tout faire pour que
l’extrême droite arrive au pouvoir. Un problème ?
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