La lutte de
Donald Trump contre les discriminations ne connaît pas de frontières. Sa lettre
aux entreprises françaises et européennes travaillant avec les États-Unis leur
intimant de rompre avec les politiques favorisant la diversité en témoigne.
Le président
américain entend que partout, universités, services publics, entreprises, soit
respectée la liberté de faire travailler qui on veut, comme on veut. Pas de
problème en revanche avec les entreprises dans le monde qui refusent de
discriminer le travail de quelque 246 millions d’enfants à raison parfois
de quatre-vingts heures par semaine pour quelques centimes, jusqu’à
l’interdire, comme le voudraient l’Unicef et les organisations qui sont
même allées jusqu’à instaurer une Journée mondiale contre le travail des
enfants.
Aux États-Unis
mêmes les discriminatoires infractions à la législation sur le travail des
mineurs ont triplé en dix ans, ce pourquoi 19 États étaient déjà désireux
d’assouplir la loi. En supprimant par exemple l’autorisation demandée aux parents
et à l’école ou en autorisant le travail en soirée ou dans des secteurs à
risque. Trump va s’en occuper.
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