Il faut bien le reconnaître, quoi qu’on en pense. Le Vieux Lion ou le
Bouledogue, c’est au choix, avait de l’humour. On parle de Churchill, bien sûr,
dont l’Angleterre fête les 150 ans de la naissance. Rien d’étonnant alors
si à Londres l’Impérial War Museum consacre une exposition qui fait un carton,
aux dessins et satires le concernant.
Pour le bonheur de l’auteur d’une chronique de l’Opinion qui
voit déferler la Churchill madness, la folie Churchill, et avoue une admiration
pour son génie « qui transcende les générations », bien
au-delà des rivages de la Grande-Bretagne. Ainsi retient-il que « Donald
Trump s’est engagé à remettre dans le bureau ovale, le buste de son idole. En
rendant hommage au partisan invétéré de la colonisation, le nouveau chef de l’exécutif
américain répond par un partisan retentissant V de la victoire à la gauche
wokiste ».
Il faut croire que le président Roosevelt, qui désapprouvait ouvertement le
colonialisme de Churchill, était avant l’heure un militant de la gauche.
Wokiste… On ignorait jusqu’alors que l’Opinion rêvait du temps
des colonies. Sans humour.
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