Youpi, c’est la rentrée. Emmanuel Macron continue d’élaborer des châteaux
de sable. Attention aux vagues, la première en fin de semaine. La Seine fait
des caprices. Après la pluie ce n’est pas le beau temps pour les triathlètes.
On a vu en tête du défilé de la cérémonie d’ouverture la délégation afghane.
Trois hommes et trois femmes. Le comité paralympique l’avait exigé des
talibans. On se demande où ils sont allés les chercher. Une nouvelle loi leur
interdit de chanter, de lire et dire de la poésie, de regarder qui que ce soit
d’autre que leur mari. Mais on a entendu samedi matin sur France Inter le philosophe
de confort Charles Pépin qui répondait à la question : peut-on transformer des sentiments
négatifs en sentiments positifs ? Non bien sûr, dit-il en résumé, mais on
peut en revanche apprendre à accepter notre colère, notre honte et à en faire
une force. Un message pour les Afghanes. Positiver. De l’art de présenter
autrement les mêmes platitudes. Merci Charles Pépin. Si on a besoin de rien, on
vous le demandera.
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