Musk masquait
Miller. Dans le bureau Ovale avec son gamin sur les épaules on ne voyait que
lui aux côtés de Trump. Mais un autre homme sort de l’ombre. Stephen Miller,
39 ans, chef de cabinet adjoint de la présidence, idéologue et soutien
sans failles de toutes les décisions prises pour combattre « la culture
communiste woke cancérigène qui détruisait notre pays, nous conduisant à croire
que les hommes sont des femmes, que les femmes sont des hommes, que la
discrimination raciale est bonne », etc.
La discrimination
raciale, c’est le racisme anti-Blancs dans un pays submergé par des immigrés
criminels. Un air connu. À Los Angeles il voit la preuve que la Californie
est « un territoire occupé ». Ce qui justifie l’appel à
l’armée en fonction d’un texte de 1798, l’Alien Enemy Act, permettant au
président en temps de guerre d’expulser sans aucune formalité les participants
à « une invasion étrangère ».
Bien que venant
lui-même d’une famille juive immigrée, il faut supposer qu’il a été traumatisé
par les démocrates pendant son enfance à Santa Monica, réputée de gauche.
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