Directeur des
rédactions du Parisien-Aujourd’hui en
France, Nicolas Charbonneau, après quatre heures de cérémonie,
de chants religieux, de défilés de cardinaux, de ferveur de millions, que dire,
de centaines de millions de
catholiques, voire de
milliards de femmes et d’hommes de toutes religions, des forêts amazoniennes
aux temples tibétains, a su voir « un moment de grâce » dans
son éditorial : « L’image de ces deux hommes dans la tourmente du monde
et le chaos de la guerre, assis sur deux chaises modestes, face à face, bien
loin du bureau Ovale, les visages à moins de 50 centimètres l’un de l’autre,
figure déjà parmi les photos qui feront l’histoire. »
Il s’agit bien
sûr de Donald Trump et Volodymyr Zelensky. On n’a rien entendu, Nicolas Charbonneau le dit,
mais « en cet instant on ne sait qui propose quoi, qui écoute ou qui
confesse qui, mais il se joue peut-être ici quelque chose qui scelle
l’avenir ». On ne sait rien, mais c’était « une forme aboutie
de la diplomatie vaticane ». Et la preuve que Donald Trump aura tout
essayé, à la grâce de Dieu.
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