Dominique Reynié a tous les lundis matin son café et son croissant sur
France Inter avec sa chronique baptisée « En toute subjectivité ». Le
contraire serait osé. Politologue et professeur à Sciences-Po, il n’a pas de
problème à se revendiquer libéral et de droite. D’où l’intérêt de
ses analyses sur le service public, en toute objectivité subjective, ça va
de soi. Bien, il est inquiet pour les démocraties dans le monde quand les
forces en présence n’acceptent pas le résultat.
Par exemple, Donald Trump en 2020, avec l’assaut du Capitole par ses
partisans, ou le NFP en France après les élections législatives où, le RN ayant
été ostracisé, le NFP n’en revendiquait pas moins la nomination de « son
candidat » (sa candidate, SVP) à Matignon. Le NFP comme Trump,
pas mal !
Le politologue objectif-subjectif aurait-il préféré Jordan Bardella ?
Quoi qu’il en soit, le fait qu’ait été nommé un politique issu de la formation
la moins bien représentée avec 6 % des suffrages pour former un
gouvernement sous la surveillance assumée du RN, c’était sans doute ça « accepter
le résultat ».
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