Ça nous avait échappé. Le Royaume-Uni
a viré « complètement stalinien », a proclamé la semaine
passée Elon Musk,
président bis des États-Unis. Le gouvernement travailliste vient d’introduire des
droits de succession sur les exploitations agricoles les plus riches. On
imagine que la prochaine étape sera leur collectivisation forcée et la
déportation de leurs propriétaires au Gulag (en anglais). C’est qu’Elon Musk
suit de près la situation, outre – Atlantique.
En juillet dernier, après le meurtre
de trois fillettes dans le nord du pays et les émeutes racistes qui ont suivi,
il a annoncé que « la guerre civile » en
Angleterre était « inévitable », alors que son
réseau X assurait que le meurtrier venait de traverser la Manche, quand il
s’agissait d’un natif de Cardiff de 17 ans.
Autant de propos « injustifiables » pour
le gouvernement britannique, mais des voix estiment, même chez les
travaillistes, que « nous devons ravaler notre fierté ». Le leader
d’extrême droite Nigel Farage se propose, quant à lui, pour se rapprocher d’Elon
Musk et de Trump. La soumission pour calmer les tensions. Dans l’esprit,
ça rappelle quelque chose.
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