Je
vais vous raconter l’histoire d’un jeune, comme il y en a des dizaines de
milliers. M.H, se trouve licencié en pleine crise sanitaire. Chômage,
indemnités…Puis au cours de l’année 2021, M.H décide de se tourner vers le
contrôle technique des véhicules. Il fait pour cela un stage de trois mois qui
sera validé. Tout aussitôt, il trouve une entreprise qui lui offre un contrat de
travail. Mais, celui-ci doit être validé par la préfecture. Les
semaines passent, et toujours rien et pas de salaire, aucune revenu.
L’employeur se tourne alors vers la préfecture pour savoir de quoi il retourne.
Tout de go, on lui répond que le délai est de huit semaines. Voilà !
L’employeur ne peut pas faire tourner sa petite entreprise et M.H se trouve
sans ressources. Mettons cette situation abracadabrantesque en regard du
discours de Macron, faisant du « travail son fil rouge », sa
« boussole «, et de nous répéter « c’est par le travail que nous
rendrons l’État plus solide, c’est par le travail que nous préserverons notre modèle social,
c’est par le travail…c’est par le travail… » Mais attention, les
demandeurs d’emploi qui ne démontreraient pas une recherche active d’emploi et
l’acceptation d’une offre raisonnable verront leurs allocations
suspendues ». On ne pourra pas suspendre les allocations de M.H, il n’en a
pas. Par contre, il voudrait bien travailler, mais il doit attendre, encore
attendre. Comme quoi, il y a un grand écart entre les paroles et les
actes !
lundi 15 novembre 2021
Macron : « Des paroles aux actes » !
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