Tout le monde
n’a pas eu le malheur d’avoir un père communiste. Chroniqueuse en vue de la
galaxie Bolloré, Sonia Mabrouk, dans le Journal du dimanche évoque en termes émouvants la vie d’une
fillette « mélancolique et solitaire », la petite Giorgia Meloni, première ministre de l’Italie : « Chez
elle, il n’y avait pas de table endimanchée (?), pas de craquements familiers
du poêle à bois et encore moins de visages réjouis à l’idée d’un festin à
partager. »
À côté, Cosette
menait la vie de château. Voilà sans doute de bonnes raisons pour lesquelles
elle avait rejoint le parti fasciste qu’était le MSI, et, « sans tomber
dans la psychologie de comptoir, on comprend que ce petit bout de femme d’à
peine 1,60 mètre s’est construit contre le père ».
Juste la
psychologie à l’eau de rose avec une suite heureuse. « Petit à
petit, elle est devenue la patronne de la maison, puis celle du quartier avant
de veiller aujourd’hui aux intérêts des Italiens. Et si c’était elle, la vraie
patronne de l’Europe ? » Sonia Mabrouk en rêve.
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